Mourir peut attendre
© Grégory Colbert Le temps à venir est passé C'est la fin des préludes Il a charrié dans son vif torrent Le bouillonnement de l'insouciance Jusque l'océan des incertitudes Qu'allons-nous devenir ? L'horizon s'est évanoui Les jeunesses se sont envolées C'était le prix à payer Pour ce plongeon à vie éperdue Dans le tumulte des existences Il faut se faire une raison... Que restera-t-il de l'histoire Quand le souvenir aura disparu ? Il restera la vie quelque part Il restera cette folle magie que la conscience Il restera l'enfance, il restera l'innocence Jean-Luc Levesque Article suivant Vous pouvez vous procurer mes livres ici, merci : https://www.jeanluclevesque.com/